La mode des jolies dames
Sous le Second Empire
C'est pendant cette période du Second Empire que les questions de mode prirent une importance considérable
Elles
agitaient les salons et étaient même
portées à la tribune.
Aux
Tuileries les femmes
rivalisaient de splendeur.
Et
les jours de fête, quel faste !
On le décrit ainsi :
"L'Empereur,
Napoléon III,
en habit, l'écharpe rouge du cordon de la Légion
d'honneur, fait son entrée.
Il
avance, au
milieu d'une haie de
jolies femmes qui font la révérence.
C'est
un
bruissement de mousselines,
de dentelles et de fanfreluches."
Les femmes, ont à leurs robes, des traînes de deux mètres de long.
La robe s'étale jusqu'à terre en une immense corolle.

Réception
à Saint
Cloud
Sa jeune femme fut sa première "présentatrice" de modes.
C'est
aux environs
de 1857-58 que
naît la
haute
couture
Charles Frédéric Worth en fut l'instigateur.
Charles Frédéric Worth en fut l'instigateur.
Il est installé à Paris, 7, Rue de la Paix, et habille les têtes couronnées.
Sa jeune femme fut sa première "présentatrice" de modes.
A voir : Charles Frédéric Worth (1825-1895) |
La haute mode est fondée par Catherine Reboux en 1865.
Le
premier institut de beauté s'est ouvert en 1867,
Il est tenu par une Anglaise connue sous le sobriquet de "Rachel l'émailleuse"
La découverte de la mauvéine, en 1856, le fut par William Henry Perkins.
En mai 1854, dans le Musée des Familles, on peut lire ceci :
Il est tenu par une Anglaise connue sous le sobriquet de "Rachel l'émailleuse"
La découverte de la mauvéine, en 1856, le fut par William Henry Perkins.
En mai 1854, dans le Musée des Familles, on peut lire ceci :
La mode assujetit le sage à sa formule. La suivre est un devoir, la fuir un ridicule |
Pour les amateurs

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